Un temps gris nous accueille au parking de la Rochefoucauld déjà blindé en ce jeudi matin.

Tout le monde à trouver à se garer, c’est donc 35 Millepattes qui prennent le chemin du jardin du Musée Jean Lurçat.

En haut de la rue Gay Lussac, arrêt pour admirer le fameux jardin créé par Stéphane Marie dans l’émission « Silence ça pousse », maintenant le cloître est visible.

Passage par la place de la Paix (emplacement de l’ancien cimetière des pauvres de l’hôpital Jean, et il s’agit de la paix éternelle de leurs âmes …), et ses beaux hôtels particuliers.

Quelle chance le jardin botanique de la faculté de santé est accessible, très beau à cette saison, le parterre de muguet nous fait un clin d’œil.

Maintenant nous abordons la partie entière refaite de la rue Larrey pour atteindre le pont des Confluences et le parc St Serge très vert. Le parc accueille notamment un théâtre de verdure, skate park et surtout l’Ice Park, la patinoire d’Angers.

Travaux Place Ney, nous contournons, afin d’atteindre le Parc de la Chalouère en haut de la rue du même nom (ça grimpe un peu !). Nous admirons les 2 magnifiques cèdres de ce parc. Beau point de vue sur la Cathédrale d’Angers à la sortie du Parc.

Entrée dans le Jardin des Plantes, par la rue Bardoul, il est toujours aussi bien fleuri, on flâne un peu.

Depuis l’avenue Montaigne nous entrons dans le Parc Bellefontaine (pause explications concernant le jardin des plantes allergènes – le pollinarium sentinelle), à sa sortie le bunker allemand monte la garde bien dissimulé sous la végétation.

Nous traversons l’avenue Jeanne d’Arc pas le temps d’en profiter, déjà nous devons continuer notre balade. Nous admirons les belles maisons le long de la rue du Quinconce, et nous rejoignons la place du Lycée (un coup d’œil à la Maison orientale avec ses 2 têtes d’éléphant qui encadrent la porte d’entrée) par le passage Rochetière et la rue Franklin.

Direction la rue de Bressigny, attention il ne faut rater l’entrée du Parc d’Ollonne (ou Parc de l’Ecole des Beaux Arts) celle-ci ressemble à une petite porte dérobée, ce parc est le poumon de ce quartier du centre. La porte de sortie est aussi dérobée que la porte d’entrée.

Traversée de la rue Paul Bert et nous entrons dans le Parc du Haras par une grande porte impossible à rater !

L’heure tourne nous avons bien flâné et profité du soleil, qui a finalement montré le bout de son nez, au bonheur de tous ! Nous décidons de couper court par la rue de Chanzy, puis l’avenue Vauban bordée par des petites maisons (une particularité : certaines maisons ont des statues de couleur posées sur leur mur ou leur fenêtre, elles ont été installées depuis le confinement par Laure Duquesne – « les Grosses Dames » pour créer du lien !).

Nous descendons le bd Yvonne Poirel (un nom de femme – résistante morte en déportation), changement de décor un nouveau quartier est créé à l’emplacement d’anciennes friches SNCF, traversé par le Jardin Eblé jusqu’à la place Giffard-Langevin. Là, 4 loups en bronze nous barrent le passage, ils nous tournent le dos, nous passons discrètement (un petit coup d’œil tout de même pour apprécier cette œuvre de Roland Cognet) afin d’accéder à la passerelle qui enjambe les voies de chemin de fer. La fresque sur le pignon de la gare attire notre attention (dessin de la graphiste angevine Céline Lamberta) clin d’œil à la dimension végétale d’Angers.

A la Place de la Visitation, direction le bd du Roi René, pour rejoindre les Jardins du Musée des Beaux-Arts ancienne dépendance de l’Abbaye St Aubin. Nous abordons la rue Toussaint, puis la place Kennedy avec la vue sur le château. Un coup d’œil aux Douves qui sont parfaitement entretenues. La descente vers la promenade Jean Turc en longeant le château et ses majestueuses tours de tuffeau et de schiste, nous semble aisée même après 11km. Très belle promenade entre la Maine et le Château, avec la pergola et sa magnifique glycine.

Fin de notre balade urbaine. Retour au Parking. Il est 12h30.

Merci à tous pour cette balade toujours dans la bonne humeur et sans pluie.

L’Equipe d’animation : Liliane -  France et Michel

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